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La doctrine sociale de l'Église en action

Cerf

20,00

Travail, chômage, consommation, décroissance, liens familiaux, vie politique, crise démocratique : et si la doctrine sociale de l'Église apportait des réponses insoupçonnées ? Illustré de cas et de situations concrètes, un traité pétillant pour changer de regard sur le monde.
Que faire lorsque aucun candidat à une élection ne nous convient ? Quelle autonomie laisser à ses enfants ? Comment réagir face à des pratiques de mensonge ou de dissimulation ? Qu'est-ce que mourir dans la dignité ? Pourquoi les réunions d'équipe sont-elles parfois inefficaces ? Comment gérer l'argent en couple ? Faut-il accueillir les migrants ? Est-il encore possible d'agir en chrétien dans la société actuelle ? À travers un panel d'exemples issus de la vie quotidienne, Thomas Ailleret révèle ici comment la foi chrétienne éclaire d'une même lumière nos engagements en famille, au travail, dans l'économie et dans la société. " Le salut en Jésus-Christ ne s'annonce pas aux âmes, mais à des personnes de chair et de sang, menant une vie concrète, concernées par le chômage ou le changement climatique ", rappelle ainsi Adrien Candiard dans sa préface. Une précieuse porte d'accès au trésor qu'est la doctrine sociale de l'Église.


18,80

Non, le Nouveau Testament et même saint Paul ne peuvent être taxés de misogynie ! C'est l'une des affirmations fortes de cette nouvelle étude du bibliste Yves-Marie Blanchard, qui évoque les personnages féminins traversant les Évangiles et les autres écrits néotestamentaires.
Scrutant les textes au plus près, il souligne combien les femmes y tiennent une place éminente. Trois approches sont ici privilégiées : contextuelle, par l'évocation du cadre et du milieu de l'époque ; littéraire, par l'analyse des textes et du regard de Jésus sur les différents personnages ; enfin théologique. Plus largement, cette réflexion et les modèles proposés appellent à s'interroger sur l'Église d'aujourd'hui, sans pour autant verser dans le fondamentalisme ou les anachronismes malvenus. Une invitation à relire, à découvrir ou redécouvrir les personnages féminins du Nouveau Testament au-delà des clichés.


8,80

Comment notre monde a cessé d’être chrétien
Le recul du catholicisme en France entre le milieu des années 1960 et aujourd’hui est l’un des faits les plus marquants et pourtant l’un des moins expliqués de notre histoire contemporaine. Comment expliquer une telle mutation et un tel déclin de la pratique religieuse ?
Guillaume Cuchet a repris l’ensemble du dossier : il propose l’une des premières analyses de sociologie historique de cette grande rupture religieuse, identifie le rôle déclencheur de Vatican II (1962-1965) dans ces évolutions et les situe aussi bien dans le temps long de la déchristianisation que dans le contexte des évolutions démographiques, sociales et culturelles des décennies d’après-guerre.


7,90

Votre missive contient une singulière requête : « Parlez-moi de l’âme »…

Votre phrase : « Sur le tard, je me découvre une âme », je crois l’avoir dite à maintes reprises. Mais je l’avais aussitôt étouffée, de peur de paraître ridicule. Sous votre injonction, je comprends que le temps m’est venu de relever le défi…

J’écris le mot « âme », je le prononce en moi-même, et je respire une bouffée d’air frais. Par association phonique, j’entends Aum, mot par lequel la pensée indienne désigne le souffle primordial. Instantanément, je me sens relié à ce désir initial par lequel l’univers est advenu, je retrouve au plus profond de mon être quelque chose qui s’était révélé à moi, et que j’avais depuis longtemps égaré, cet intime sentiment d’une authentique unicité et d’une possible unité.

F. C.

 

Petit livre, grand livre, beau livre dense et profond. La Croix.

Une écriture subtile et aérée, humble et ouverte aux autres. Télérama.

De superbes pages. Le Figaro.


14,90

Anne Lécu nous invite à une nouvelle méditation biblique pour en découvrir une facette inattendue : la force symbolique du texte quand il convoque la nature. Elle cueille auprès de quelques arbres ou plantes une prière singulière. Souvent comparés aux humains, ces végétaux nous enseignent une manière d'habiter notre relation avec Dieu. Ainsi l'amandier, figure la prière du veilleur car le mot hébreu qui le désigne, "shaked", dérive du verbe qui signifie « être attentif, veiller ». C'est cette étymologique l'on retrouve dans le livre de Jérémie. Le cèdre incarne la prière du bâtisseur, le chêne, celle du sage, le figuier celle du gourmand, etc. Qu'il s'agisse du Cantique des Cantiques, du livre de la Genèse, l'arbre guide la méditation spirituelle et ses différents moments. Le règne animal est également l'occasion de méditer le texte de la Bible, ainsi de quelques oiseaux qui s'invitent pour un temps de méditation sur le sens de la relation entre l'homme et la Création.
Ces textes ont été l'objet d'une première parution dans "Prions en Eglise"